1860 USA, Edward Spencer, de la Northwestern Theology. Il entend des personnes naufragées. Il sauve des personnes petit à petit. 17 personnes sauvées par Edward. Il est devenu paralysé et n’a pas pu continuer ses études de théologie. Il est mort quelques années plus tard. Aucune personne parmi les 17 personnes n’est revenu le voir pour lui dire merci.
Histoire en lien avec Luc 17.11-19.
10 lépreux qui crient à Jésus. Ils ont déjà entendu parler de lui, une bonne réputation dans leur cœur.
À l’époque les lépreux étaient conduits à l’extérieur de la ville. Ils devaient dire « impur » x3 pour que les gens s’éloignent et ne les touchent pas. La lèpre touchait toutes les classes de la société.
Ils savaient que la lèpre ne se guérissait pas, sauf Naaman le général syrien.
Ils crient « Maître, aie pitié de nous » au lieu de crier « impur ».
Jésus leur dit d’aller se montrer aux prêtres. Pourquoi ne les guérit-il pas ? Il veut tester 2 choses : leur foi et leur reconnaissance.
Petit à petit, ils sont guéris ! Les sensations reviennent et les blessures se referment.
Ils peuvent décider de retourner vers leur société, leur famille, leurs amis : les 9 personnes. Mais une personne décide de croire en la guérison physique et la liberté du cœur. Il savait que là où il y a la guérison physique, il y a la liberté du cœur.
Jésus a eu pitié, compassion, là se trouve l’amour de Dieu // Esaïe 61
Il sait qu’il a besoin du salut. Jésus lui dit que sa foi l’a sauvé.
Romains 1.20-21 la colère de Dieu est sur ceux que Dieu a béni mais qui ne l’ont pas glorifié, ni étant reconnaissants.
Une personne non reconnaissante, vit comme s’il était capable de créer son propre souffle. La situation du monde aujourd’hui est la même que les 9 autres personnes.
Tout ce que nous avons est un don de Dieu.
La lèpre faisait beaucoup de mal, mais le péché fait pire, il défigure les relations dans le couple, dans l’amitié, dans les relations professionnelles.
Il faut se rendre compte que tout ce que nous avons vient de Dieu : les enfants, le travail, etc.
Si nous avons des épreuves, sachons être reconnaissants de pouvoir entendre la parole de Dieu, pour le jour présent.
Jésus dit ici à la pire des personnes de l’époque, un samaritain, que sa foi l’a sauvé. Si c’est possible pour une des pires personnes, c’est aussi possible pour chacun d’entre nous.
À partir de Luc 9, Jésus va à Jérusalem, pour la pâque : fête de la libération du peuple Juif. Ici, Jésus meurt à la croix pour nous libérer de nos péchés, avec une récompense sûre.
Jésus sait que si on revient, c’est pour le salut.
Conclusion : quel genre de personnes suis-je ? Si écho, ne pas hésiter à aller voir les responsables de l’église.