Journée de fête des parents + baptême de Sandrine
Pasteur parle à trois types de personnes : parents, enfants, disciples de Jésus.
L’homme aime écouter les choses heureuses mais pas les choses tristes.
Comment agir, alors que nous avons reçu l’aide des autres ?
Jésus passe entre la Samarie et la Galilée, alors qu’il va en direction de Jérusalem.
Il y rencontre 10 lépreux. C’étaient des gens rejetés par la société. L’un d’eux est Samaritain et donc méprisé par les Juifs.
La lèpre est considérée comme une maladie sans guérison. Ils sont comme ayant reçu la peine de mort. La relation avec les autres est coupée, ils sont séparés des membres de leur famille.
Cf. Lévitique 13.9-11
Ils se sont donc tenus à l’écart en criant à Jésus d’avoir pitié d’eux car ils avaient peur d’être lapidés. Ils étaient dans une situation désespérée. La Bible dit qu’il y avait 10 lépreux, le chiffre 10 qui montre qu’il y en avait beaucoup.
Beaucoup de familles sont des familles mono-parentales. En France, nous avons une société matérialiste mais cela n’enlève pas la souffrance qu’ont les gens : divorce, drogue, problèmes des migrants. Les malades qui consultent régulièrement le médecin. Ils en ont assez à la fin de leur vie. Quand les personnes pensent qu’il n’y a plus d’issue, ils pensent que le monde ne les veut pas.
Parfois, les gens pensent que Jésus est comme les autres et risque de les rejeter // les 10 lépreux.
Les lépreux pensent qu’ils sont malades parce qu’ils ont péché. Ils s’estiment ne pas être dignes de la grâce de Dieu pour être guéris, pensent que Dieu ne les aime pas. « Dieu ne peut pas m’aider ». Mais en réalité, ces raisonnements sont faux parce qu’ils ne connaissent pas Dieu. Il n’y a pas chez Dieu ce mot « refuser ».
Même en cas de maladie, Jésus veut s’approcher de nous, il vient guérir ceux qui sont dans le besoin.
« Dieu ne refuse pas le cœur contrit et brisé ». Psaume 51.17
Quand l’homme est désespéré, il ne peut plus espérer. Dieu lui donne cette espérance, lui montre qu’il a besoin de Jésus. D’où les cris des lépreux « Aie pitié de nous ! » // Abandonné par les amis, négligence du patron, quelle sera ma réaction ?
Je peux crier « Seigneur, aie pitié de moi ! »
Nous revenons ainsi auprès du Seigneur.
Jésus a vu et entendu : il leur dit d’aller de présenter aux prêtres.
Seuls les peuples pouvaient justifier qu’ils étaient guéris. Cela montre qu’il veut qu’ils croient à la Parole de Jésus et aillent voir les prêtres.
Dans les Évangiles, Jésus touche la personne, sinon la relève. Ici il utilise la Parole. Cela montre que lorsque nous venons vers Dieu, nous devons croire en sa Parole. Ils ont écouté et sont venus vers les prêtres, ils sont donc guéris.
La maladie peut être guérie parce que l’homme veut croire en la Parole de Jésus.
Quelle que soit la souffrance de l’homme, il peut veut que la Parole de Dieu marche, que dans le désespoir nous pouvons nous accrocher à notre espérance.
Avec la guérison, on peut croire que l’histoire se finit ainsi… mais pas tout à fait.
Dans Luc 17.15, l’un d’eux, guéri, revient sur ses pas et rend gloire à Dieu à haute voix. Les 9 autres guéris peuvent maintenant aspirer aux rêves les plus fous, avoir une femme, un bon travail… mais ils ont oublié l’essentiel, ce pour quoi ils criaient. La guérison de Jésus est un acquis, ils considèrent maintenant leur situation matérielle comme supérieure au reste, au lieu de revenir remercier Jésus.
Lorsque nous recevons l’aide des autres, nous nous devons de les remercier.
J’ai le droit de manifester (grèves) mais dans tout cela nous ne voyons pas Dieu.
Exemple de la maman qui a eu un fœtus qui ne grandit plus. Grâce à la prière de l’église, elle a pu accoucher et donner naissance à son fils.
La santé n’est jamais acquise.
Dieu a envoyé deux anges pour voir s’il y a du monde qui est fidèle à Dieu. Un grand panier contient tous les mécontentements. Seule une voix de reconnaissance : celle du Samaritain autrefois lépreux. 10% de reconnaissant.
A nous de l’imiter.
1) il était malade, Jésus lui a adressé une parole de guérison
2) il était exclu, Jésus lui a adressé une parole d’envoi
3) il était maudit, Jésus lui a adressé une parole de réconfort.
Lève-toi, ta foi t’a sauvé !
Le plus important est de se laisser guider par le Seigneur. Sinon, nous ne tenons pas compte de ce que fait Dieu pour nous. Luc 17.19
Demain est un autre jour, mais aujourd’hui est le jour du choix.
Jésus veut que nous soyons une personne reconnaissante. Malheureusement, il y a beaucoup de personnes ingrates. Il nous enseigne ce qu’est l’amour. Apprenons ce qu’est l’amour, sachons comment aimer notre prochain.
Puisque c’est la fête des parents, apprenons à remercier nos parents. Le cadeau est l’expression de leur amour.
En tant que parents, remercions Dieu pour des enfants reconnaissants. Nous vivons ainsi les paroles de Jésus et sommes bénis. Soyons tous reconnaissants.